GENEVE – La Direction de l’enseignement obligatoire genevois a estimé que le projet de faire chanter des écoliers de 5 à 7 ans dans L’Arche de Noé violait la constitution, comme nous l’apprend la Tribune de Genève et le 20 Minutes (lire article ici) ce mardi 26 mai 2015.

Mais comment est-ce possible dans la Cité de Calvin, comment peut-être la franc-maçonnerie (hypothèse de réflexion en suivant l’actualité française) stupide d’influence du Grand Orient qui pollue à Genève et en France (je ne parle pas de franc-maçonneries plus respectueuses, Dieu merci il y en a) en est-elle arrivée à ce stade ?
Où sont les protestants, existent-ils encore ou le monde est-il désormais peuplé seulement d’évangéliques fiers de leur convictions sur cette planète Terre ? Il faudrait une mobilisation générale, y compris des catholiques, dépôt de plaintes pénales, demande de référendum. Bougez-vous, ou voulez-vous attendre que Genève devienne une Corée du Nord sans liberté religieuse ?
La honte totale de l’Etat de Genève, la mafia tout simplement des autorités genevoises qui ont déjà par le passé cherché à interdire la présence d’évangéliques au marché, mais qui ont perdu devant la justice.

Peut-être que dans le futur plus aucun enseignant ne pourra être engagé s’il porte un nom biblique comme Sarah, David… Au nom de la laïcité.

Et aussi, à Genève le quartier de la St-Jean devrait être débaptisé, car Saint est bien sûr sale, indigne d’un état laïc.

De plus, est-ce que nous les évangéliques nous nous plaignons par exemple de la méditation, toujours plus utilisée à l’école et dans les entreprises ? Non, car nous sommes aussi beaux joueurs. La méditation a clairement une influence notamment bouddhiste, mais nous respectons aussi ces cultures et n’allons pas provoquer pour rien comme le fait le DIP. Si j’ai un frère musulman je le respecte, je peux même aller dans son lieu de culte. La religion s’additionne, elle ne se soustrait pas.

La moindre des choses est que quand on habite dans un pays chrétien (ou au moins de culture) comme la Suisse, on respecte la culture chrétienne, si vous n’êtes pas content car vous avez une autre religion ou êtes un athée fanatique, allez dans un autre pays ou envoyez vos enfants à l’école privée. N’y voyez pas ici un discours raciste, mais simplement de respect. Si je vivais en Iran je respecterais la culture du pays.

Stupidité sans limite

Ce qui pourrait être intéressant c’est de médiatiser cette affaire hors de Suisse (et je vais me charger de la médiatiser en Suisse premièrement), par exemple aux Etats-Unis ou au Brésil, est-ce que les Américains ou Brésiliens si croyants (à plus de 90%) pourraient continuer à acheter des Rolex par exemple provenant désormais presque de la Corée du Nord ou plutôt de la République Athée de Genève?

La Suisse se ridiculise. Même la France si j’en crois avait autorisé cette pièce d’opéra.

Les athées au pouvoir

Il est évident que l’équipe de la Direction de l’enseignement obligatoire sont des athées, très probablement d’influence franc-maçonne du Grand Orient ou peut-être même sans aucune influence, tout simplement athée sans trop réfléchir, sans connaître l’histoire, la honte pour des personnes devant transmettre le savoir. Il ne faut pas ensuite venir pleurer si de plus en plus de parents chrétiens vont vouloir mettre leurs enfants dans des écoles privées ou même comme votre serviteur, Genevois, a tout simplement émigré au Brésil exactement pour cette raison, l’athéisme qui pollue en Suisse , au moins au Brésil et malgré tous ses problèmes, c’est un pays qui respecte et valorise les Chrétiens. La même chose que les Etats-Unis, un pays qui respecte à fond le christianisme.

Romanvie suivra le débat et nous n’hésiterons pas à déposer plainte pénale pour défendre tous les Chrétiens de ce pays, sans aucun état d’âme. Avis aux autorités, la guerre ne fait que de commencer ! Car on sait très bien que si on lâche la garde, la prochaine étape pourrait être d’interdire des églises à Genève, puis la religion entière. Déjà des intellectuels athées anglais veulent aller dans cette direction.

Le 26 mai 2015. Par Xavier Gruffat

Lire aussi: EDITORIAL – La folie du progressisme, ils veulent détruire notre civilisation chrétienne !

Lire aussi :  EDITORIAL – France vs. Suisse, le danger de l’athéisme pour un pays

Photos d’illustrations : Romanvie.ch

MONTREUX – Une crainte qui revient toujours plus dans les médias, et la population en général, est le risque de perdre des emplois à cause de l’automatisation croissante de services et processus industriels. Certains pensent que les Google Cars pourraient détruire à travers le monde des millions d’emploi de chauffeur, le scanning personnel de produits à la Migros ou à la Coop faire perdre des milliers d’emplois au commerce de détail en Suisse et même les médecins pourraient voir leur valeur ajoutée menacée par un ordinateur surpuissant comme Watson d’IBM capable de lire en quelques secondes des milliers d’études scientifiques en anglais et sortir le meilleur traitement pour chaque patient. Les exemples ne manquent pas, citons encore des robots journalistes ou des fermes automatisées.

On a effectivement des raisons objectives d’avoir peur, mais parfois étudier un peu l’histoire ne fait pas de mal.

Retour dans le passé

Imaginez-vous que vous êtes au Moyen Âge dans une campagne française ou suisse. À cette époque de nombreux travailleurs cultivaient du blé ou d’autres céréales dans leur petite ferme sans véritable technologie. On peut dire que les villes étaient peu développées vu que la majeure partie de la population cultivait ses champs de blé, pourquoi aller en ville si les revenus proviennent du blé et d’autres ressources agricoles ? Puis des innovations industrielles sont arrivées, notamment au 18ème siècle, avec selon certaines sources une productivité de la culture du blé 2,5 fois supérieure à celle observée pendant le Moyen Âge, avec notamment le développement de moulins, de granges ou de silos situés dans ou à la périphérie des villes ou villages. Autrement dit, certains petits paysans se sont retrouvés en grande difficulté par manque d’innovation pour augmenter la production de blé et ont dû migrer vers les villes ou villages naissants. Avec le capitalisme et la simple loi de l’offre et de la demande, si vous produisez du blé bien plus cher que la concurrence, vous n’avez plus aucune chance de le vendre. Une grande partie du petit peuple s’est ainsi retrouvé sans véritable ressource et “mangé” par la concurrence des producteurs aux méthodes industrielles. C’est l’une des causes par ailleurs de la Révolution Française.

Mettez-vous maintenant à la place d’un petit paysan qui perd tout, il n’y avait à cette époque aucun système social (welfare) si ce n’est un peu de charité catholique ou protestante. Est-ce que ces personnes n’avaient pas peur du futur, plus que nous maintenant ? Imaginez des intellectuels de cette époque affirmer: “Mais c’est incroyable ces outils agricoles qui augmentent la productivité, on va mettre tout le monde au chômage.” Le temps a passé et le 20ème siècle a plus ou moins mis fin au travail manuel de la culture du blé pour aboutir à une mécanisation quasi totale, il suffit de regarder comme le blé est récolté dans le Midwest américain, à l’aide d’énormes tracteurs.

On se rend compte qu’à chaque période de l’humanité, on observe une destruction et probablement une création de nouveaux postes de travail.  Cela reprend bien sûr les théories de Joseph Schumpeter, grand économiste autrichien né en 1883, avec son concept de “destruction créatrice” lié aux cycles économiques et notamment aux grandes révolutions. Pour cet économiste, à chaque période on observe une destruction d’emplois et une création de nouveaux.

Le vrai problème

Selon moi, le vrai problème réside dans la répartition des richesses. Si on peut amener une critique à notre époque actuelle remplie d’informatique et d’algorithme, c’est celle de concentrer et créer de nombreux monopoles globaux (Google, Facebook, Amazon), mais n’oublions non plus pas Nestlé ou Migros, qui sont des petits monopoles sur certains secteurs.
Tous les enjeux ne seront probablement pas vraiment la perte d’emploi (car d’autres seront créés), mais bien plus la répartition des richesses. C’est pourquoi la politique, plus que jamais, prend tout son sens.
Pour illustrer ma pensée, à quoi servent les peintures ? Franchement à rien du tout ou presque, on pourrait tout à fait vivre sans peinture et peut-être même sans art, je ne dis pas qu’on doit le faire, mais il n’y a rien de vital. Les peintures existent selon moi tout simplement, car il y a des riches, ce qu’on peut appeler des excès de cash. Si tout le monde était pauvre ou de la classe moyenne, personne n’aurait de l’argent pour acheter une peinture à quelque milliers de francs, et le marché des peintures n’existerait pas ou très peu, si ce n’est comme petit hobby discret, idem pour les montres de luxe, etc. L’idée est que dans une société il y aura toujours de l’argent, toujours du travail (le travail provient de l’argent gagné par certains) et que l’automatisation ne me fait pas peur. Le vrai problème sera comment mieux partager cette richesse.

Clairement, n’ayons pas peur du futur, il n’est pas pire qu’au Moyen Âge. Dieu et Jésus dans le Nouveau Testament nous invitent d’ailleurs à ne pas avoir peur, pourquoi ne pas suivre cette recommandation ?

Le 20 mai 2015. Par Xavier Gruffat (dipl. MBA – pharmacien EPFZ) – Romanvie.ch, © Magalice – Fotolia.com

VAUD – Mardi 19 mai 2015, peu avant 20h00, la Police Nyon Région a été avisée de la présence du corps d’un homme sans vie, dans un appartement à Nyon. Sur place, les policiers ont rencontré une femme, amie de la victime, vivant dans le même logement. Le procureur a demandé sa mise en détention provisoire. A l’heure actuelle, ni les circonstances ni les causes exactes de ce drame ne sont formellement établies.

Mardi 19 mai 2015, vers 20h00, la centrale de la Police Nyon Région a reçu un appel annonçant qu’une personne était décédée dans un appartement. Rapidement sur place, les policiers se sont trouvés en présence d’un homme couché au sol. Son décès a été constaté peu après par un médecin du SMUR. Il s’agit d’un Suisse de 55 ans, domicilié à cet endroit. Sur place se trouvait également son amie d’origine serbe, âgée de 48 ans, logeant au même endroit. Elle a été entendue par les enquêteurs, puis par le procureur de service mercredi en début de soirée. Elle a admis son implication dans les faits, dont l’ampleur et l’exactitude devront être déterminées par l’enquête. La victime a reçu plusieurs coups avec un objet pointu et tranchant, vraisemblablement un couteau. Au terme de l’audition, le procureur a décidé d’adresser une demande de détention provisoire au Tribunal des mesures de contrainte (TMC).

Plusieurs investigations sont toujours en cours. Sous la conduite du procureur, elles sont menées par les inspecteurs de la Division criminelle et de l’identité judiciaire de la Police de sûreté, en collaboration avec le personnel du Centre universitaire romand de médecine légale (CURML).

Cet événement a nécessité le déploiement de plusieurs patrouilles de la Police Nyon Région et de la Gendarmerie, du personnel du CURML ainsi que des enquêteurs et des spécialistes de l’Identité judiciaire de la Police de sûreté.

Communiqué de la Police vaudoise, le 21 mai 2015, Photo illustration : © fischers – Fotolia.com

L’amour est insaisissable, impénétrable, souvent mystérieux, pas toujours facile à comprendre, mais il est bien là. C’est la force qui donne vie au couple et qui le maintient en équilibre. Tant que l’amour reste présent, bien souvent tapi dans un coin de notre cœur quand viennent les heures sombres, rien ne peut ébranler le lien qui lie deux personnes qui ont décidé de partager leur vie et leur existence.

Comment se manifeste l’amour ?

Il serait difficile d’expliquer clairement ce qu’est l’amour ou comment il se manifeste. C’est un sentiment qui possède plusieurs langages. L’amour c’est la foi, c’est la confiance et l’envie permanente d’aller vers l’autre, de comprendre et de se faire comprendre. Le mystère qui plane autour de l’amour et le lien qu’il crée dans le couple n’est pas facile à sonder, même si certains pensent percevoir pourquoi ils sont attirés par une personne. Croire que c’est la beauté, la compatibilité d’humeur, la ressemblance ou pourquoi pas la différence qui nous rapproche de l’être aimé n’est pas toujours vrai, car l’amour est plus profond.

Malgré son caractère mystérieux, l’amour sait parler aux cœurs sensibles à ses appels. Il peut se manifester par différentes attitudes que les couples ont besoin de comprendre pour pouvoir mieux communiquer. L’amour peut ainsi susciter la peur de perdre l’autre, nourrir la confiance envers l’autre et entretenir le désir d’être toujours près de l’autre

Si vous cherchez à identifier des signes ou des changements visibles qui vous permettent de comprendre que vous aimez, la première chose à faire est d’écouter le battement de votre cœur. Il ne vous mentira pas. L’amour engendre également la fascination qui se perd souvent au fil du temps lorsque la monotonie s’installe. On croit tellement connaître son partenaire que l’on oublie à quel point on l’a trouvé si mystérieux… si fascinant. Pourtant, il y a chaque jour de nouvelles choses à découvrir et l’envie de les découvrir peut nous aider à comprendre à quel point on aime. L’amour s’exprime également par des manifestations physiques comme le désir, qui mérite d’être entretenu au quotidien dans la vie du couple. La volonté de s’engager avec l’autre pour le reste de sa vie et d’avoir le sentiment d’exister pleinement grâce à sa présence sont autant de signes permettant de comprendre que l’amour existe.

Comment entretenir l’amour dans un couple ?

Comme un jardin, l’amour a besoin de soins et d’attention. Il importe de l’arroser avec des petits gestes au quotidien qui rappellent à chacun à quel point il a de l’importance pour l’autre. Il suffit parfois d’un mot, d’un sourire ou d’un rien pour exprimer son amour.

Le partage

L’amour peut être assimilé à un feu qui ne peut brûler tout seul si on ne l’attise. La meilleure façon de rendre le feu de l’amour toujours plus ardent et chaleureux, dans un couple, est le partage. Chacun doit apprendre à donner et à veiller au bien-être de l’autre. Il faut cependant faire attention à ne pas étouffer son partenaire par un excès de tendresse ou de soins. Ce partage doit être naturel.
Il existe des personnes qui aiment, mais qui ne l’expriment pas toujours de manière visible ou qui partagent, mais à leur façon, de manière parfois discrète ou timide. C’est à leur compagnon ou compagne d’apprendre à les connaître afin de pouvoir sentir et apprécier à leur juste valeur ce qu’ils donnent.
Partage ne signifie pas non plus dépendance puisque les couples, malgré ce qu’ils ont de commun, doivent toujours rester complémentaires.

Attendre de recevoir pour donner n’est pas non plus la meilleure façon d’entretenir l’amour. Cela ne signifie pas qu’il faut donner sans compter, aveuglément, mais il faut être à l’écoute de l’autre et donner ce dont il a besoin.

La communication

Il arrive que l’on ait l’impression de toujours donner, sans jamais recevoir. C’est peut-être vrai. Il importe de ce fait de savoir communiquer à son partenaire ses attentes et ce qui manque afin de lui permettre de mieux comprendre et d’y répondre.

Mettre en mot les choses que l’on n’arrive pas à comprendre, les attitudes, les gestes ou les comportements que l’on considère comme n’étant pas une expression de l’amour dans un couple permet aux deux partenaires de se rapprocher et de ne pas laisser s’émousser l’amour.

Le travail peut par exemple absorber jusqu’au point que la vie conjugale s’efface en arrière-plan et que le partenaire se sent seul et mal aimé. Il faut parfois que viennent la colère et l’incompréhension avant que l’on se rende compte de l’écart qui est en train de se creuser. Pour éviter ce genre de situation ou y remédier, il est nécessaire de faire de la vie de couple une véritable aventure : palpitante, pleine de rebondissements et de surprises. Quelques minutes ou quelques secondes de tendresse peuvent penser bien des blessures et permettre au couple de se retrouver. En communiquant leurs envies ou leurs doutes, chacun des partenaires peut contribuer à entretenir le mystère et l’envie permanente de vivre de nouvelles choses avec l’autre.

Le respect

L’amour n’est pas toujours cet océan de bonheur permanent auquel aspirent la plupart des couples. Oui, c’est un océan où le vent peut être favorable et le soleil briller, mais qui peut également être chamboulé par la tempête. L’essentiel est de savoir retrouver l’équilibre du couple et de ne pas se laisser noyer par le mauvais temps qui ne fait que passer. Pour garder cet équilibre, il faut comprendre que l’amour ne signifie pas une fusion de désirs et d’aspirations. C’est le désir d’être ensemble tout en gardant sa propre personnalité.
Le respect de cette identité propre à chacun est essentiel pour permettre au couple de respirer et de s’épanouir. Lorsque cette liberté tend à disparaître au profit des désirs mutuels ou des aspirations trop dominantes de l’un des partenaires, il faut penser à se ressourcer et à retrouver le point d’équilibre du couple.
À rappeler que les hommes et les femmes ne réagissent pas de la même façon face à l’amour. Ils n’expriment pas non plus leur sentiment de la même manière. Si les femmes sont rassurées par une relation affective plus dépendante, l’homme, lui, se sent plus souvent à l’aise dans le détachement.

Dans les épreuves les plus difficiles, il ne faut pas oublier que l’amour est patient, persévérant, indulgent et bon. Il trouvera toujours le chemin de votre cœur si vous ne perdez pas espoir.

Par Seheno, 19 mai 2015

Lire d’autres articles sur la vie de couple sur notre Love Blog

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NEW YORK – Romanvie.ch comme site conservateur chrétien ne voit pas Fox News comme un mauvais média,  même si un média conservateur aux Etats-Unis n’est pas identique à un média conservateur en Suisse. Aux Etats-Unis, être conservateur est aussi fortement lié à l’armée et aux armes en général. Le conservatisme suisse est plus lié, pour des raisons historiques et politiques (neutralité), aux milieux chrétiens, qu’ils soient catholiques (ex. PDC), protestants ou évangéliques comme ce site, avec une vision conservatrice surtout sur les thèmes de société et moins sur la sécurité extérieure.

Fox News

Mais qui se cache derrière Fox News? Fox News (en fait Fox News Channel) est une chaîne d’information en continu conservatrice basée à New York qui appartient notamment au très riche homme d’affaires et de média Rupert Murdoch. Fox News, au contraire de CNN ou CNBC, est politiquement proche des Républicains, donc plus à droite sur l’échiquier politique et beaucoup moins libéral sur les thèmes de société. La chaîne Fox News n’est de loin pas la plus regardée des Etats-Unis, les 4 grands networks (CBS, ABC, NBC et Fox) et même CNN ont plus d’audience, mais Fox News est une chaîne qui fait souvent polémique et donne le ton dans la politique américaine et mondiale.

Selon le Pew Research Center, c’est clairement le média qui représente le mieux les conservateurs aux Etats-Unis. Les conservateurs américains sont souvent blancs et évangéliques, voire catholiques de plus en plus. Les libéraux ou progressistes américains sont souvent protestants historiques, athées, agnostiques ou noirs. On sait que la communauté noire vote très peu républicain.

La bataille Obama vs O’Reilly, le problème de la pauvreté

O’Reilly est l’un des journalistes les plus connus de Fox News, il anime un talk show sur la chaîne de façon régulière. Cette semaine, le 12 mai 2015, le Président Obama a même accusé directement Fox News et indirectement M. O’Reilly de critiquer les pauvres, pour le journaliste de Fox News la pauvreté serait souvent liée à des mauvais choix de vie (fréquentation), un manque d’envie de travailler et de la paresse. Bien sûr pour les Démocrates, au centre ou à gauche politiquement, entendre cela est insupportable. Pour Obama, la pauvreté ne peut être que le fruit du hasard et les pauvres n’ont aucune responsabilité. Le grand journal libéral The New York Times s’est aligné aux propos d’Obama.

Eternel débat gauche-droite

Ce qu’a affirmé O’Reilly dans le passé, et qui a déclenché la colère d’Obama, est intéressant sur la pauvreté, voici quelques extraits: “La véritable pauvreté est influencée par de mauvais choix de comportement et non par un système économique injuste – En 1963 seulement 5% des bébés naissaient hors mariage – maintenant ce chiffre se monte à 41% et à 72% pour des bébés Afro-américains  – Des mères célibataires ont 4 fois plus de risque de souffrir de pauvreté – Les enfants élevés par un parent célibataire ont 3 fois plus de risque de terminer en prison et 50% plus de risque d’être pauvre comme adulte.”

Pour O’Reilly, il faudrait avoir un programme pour éduquer les parents, un bon moyen de lutter contra la pauvreté. Rappelons que 14,5% des Américains sont considérés comme pauvre en 2013, contre 12,6% en 2006.

Ce genre de débat est très intéressant et assez fondamental pour bien comprendre la gauche et la droite. La gauche a tendance si on veut à souvent soigner les symptômes sans véritablement reconnaître ou vouloir reconnaître les causes, dans ce cas le manque de structure familiale, le libéralisme anti-conservateur bien ancré. La droite elle cherche souvent à trouver les causes mais peine probablement aussi à bien soigner les symptômes, autrement dit elle peut avoir tendance à beaucoup parler sans agir pour lutter sérieusement contre la pauvreté.

Le problème de l’oeuf et de la poule

Comme site chrétien, nous sommes très attachés à la lutte contre la pauvreté, Jésus le dit notamment dans Jacques, en montrant l’importance d’aider les pauvres et notamment “prendre soin des orphelins”. Nous pensons que la solution pour lutter contre la pauvreté est justement de mieux prendre en compte le chaos familial dans nos sociétés modernes, pour cela nous sommes totalement conservateurs et d’accord avec Fox News, mais tout en continuant à aider et à soutenir les pauvres dans les quartiers difficiles. N’oublions pas que c’est un peu le problème de l’oeuf et de la poule, qui était en premier ? La pauvreté qui engendre une “misère” morale et une certaine décadence (drogue, promiscuité, violence) ou alors la misère morale, dans ce cas effectivement plus liée à des choix de vie, qui engendre la pauvreté. M. O’Reilly force un peu le trait en oubliant probablement la première partie de la phrase précédente mais relève des points intéressants qu’il faudra prendre en compte dans la lutte mondiale contre la pauvreté.

Lire aussi :  55% des Américains affirment prier tous les jours

Le 15 mai 2015. Par Xavier Gruffat – Photo: Jörg Hackemann – Fotolia.com

Remarque et précision sur l’auteur: X.Gruffat effectue un cours sur la pauvreté au Brésil et exerce un travail social une fois par semaine dans une favela de Sao Paulo (Brésil)

WASHINGTON – Le célèbre institut de sondage et think tank Pew a publié une étude qui n’est pas passée inaperçu dans la presse  américaine et dans le monde chrétien, le nombre de protestants dits mainline ou historique serait en forte baisse aux Etats-Unis, tout comme le nombre de catholiques, les évangéliques ou born again (baptisés à l’âge adulte ou pendant l’enfance) se maintiennent mais perdent quand même quelques plumes. Les mormons et surtout les témoins de Jehovah se stabilisent. Ce sondage comparent des données récoltées entre 2007 et 2014. Le nombre total de Chrétiens est passé de 78% à 71% pendant ce laps de temps.

La chute des protestants historiques

Aux Etats-Unis on classe souvent les protestants ou réformés dans un sens large : les protestants historiques souvent blancs (les fameux WASP) comme les méthodistes, calvinistes, presbytériens ou luthériens, les évangéliques comme les baptistes ou pentecôtistes et les protestants noirs souvent baptistes. Selon ce sondage le nombre de protestants historiques est passé de 18,1% en 2007 à 14,7% en 2014. Les évangéliques sont passés de 26,3% à 25,4%. Le nombre de protestants noirs est resté plutôt stable à un peu moins de 10%.

Les catholiques sont passés de 23,9% à 20,8% entre 2007 et 2014.

Ce qui est très intéressant avec cette étude est de voir l’explosion en 7 ans, de 2007 à 2014, du nombre d’Américains se déclarant sans affiliation, c’est-à-dire sans appartenance à une église. Leur nombre est passé de 16,1% à 22,8%. Les jeunes sont particulièrement nombreux dans cette situation.

Le nombre d’athées ou agnostiques est passé en 7 ans de 4 à 7%.

Analyse

Pour le Christian Post, grand site américain de tendance évangélique, ces résultats ne sont pas forcément négatifs, la religion est parfois une habitude sociale pour ne pas dire une mode. Le fait que beaucoup d’Américains croient en Dieu, prient et fréquentent parfois une église sans être affilié à une dénomination montre que ces personnes continuent d’avoir la foi dans un rapport plus intime. Rappellons qu’environ 95% des Américains croient en Dieu, bien plus qu’en Suisse. Un récent sondage a montré qu’un peu plus de 50% des Suisses affirmaient croire en Dieu.

Le 15 mai 2015. Par Xavier Gruffat (Romanvie.ch), fondateur de Romanvie.ch – Sources: Pew Research Center

VALAIS – Le 13.05.2015, vers 03h00, la Police cantonale est parvenue à écarter un danger pour la circulation en interceptant un véhicule qui roulait en contresens sur l’autoroute.

Une Française, âgée de 42 ans, s’est engagée par erreur à contresens sur l’autoroute A9, de Sierre-Est en direction de Sion.

Une patrouille de la Police cantonale est parvenue à barrer rapidement la route à la hauteur d’Uvrier. La voiture, immatriculée en France, a été neutralisée juste avant qu’elle ne s’engage dans la bidirectionnelle placée en raison des travaux. La Police municipale de Sion est intervenue en renfort afin de contrôler les accès à l’autoroute.

La conductrice fait l’objet d’une dénonciation.

Ces engagements sont particulièrement périlleux pour nos agents puisque, selon les situations, ils sont amenés à se présenter face au véhicule roulant en contresens, afin de canaliser et protéger le trafic circulant correctement. Parfois, des collisions surviennent entre le véhicule roulant en sens inverse et les véhicules de police qui doivent l’intercepter.

Depuis 2010, la Police cantonale a constaté :

– 29 contresens sur l’autoroute du Rhône

– Dont 6 qui ont provoqué des accidents (aucun blessé)

– Parmi les contrevenants figurent 16 conducteurs de moins de 65 ans et 13 de plus de 65 ans

– L’accident le plus grave, suite à un contresens, est survenu en 2004. Ce drame avait fait deux morts et deux blessés.

Source : Communiqué de la Police valaisanne. Le 13 mai 2015.

WASHINGTON – A l’occasion de la journée nationale américaine de la prière le 7 mai, le National Day of Prayer,  le Pew Research Center nous apprend que 55% des Américains affirment prier tous les jours. Cette journée nationale américaine de la prière a été instaurée en 1952 par le Congrès et le Président Harry S. Truman (Parti Démocrate).

Les femmes surtout

Selon un sondage réalisé en 2013, 55% des Américains affirment prier tous les jours, 23% prient de façon hebdomadaire ou mensuelle et 21% affirment prier rarement ou jamais. De façon intéressante, même chez ceux sans religion 21% affirment  prier tous les jours. Les femmes, avec 65% qui prient tous les jours, sont plus nombreuses que les hommes (46%). Les personnes âgées avec 60% sont plus nombreux que les jeunes (45%) à prier quotidiennement.

Plusieurs études scientifiques ont montré que la prière était excellente pour la santé, notamment pour améliorer le taux de guérison en cas de cancer.

Le Notre Père

Profitons de rappeler ici la plus célèbre prière du christianisme, le Notre Père (on la trouve notamment dans Mathieu au chapitre 6 aux versets 9-13)

Notre Père, qui es aux Cieux,
Que ton nom soit sanctifié,
Que ton règne vienne,
Que ta volonté soit faite
Sur la terre comme au ciel.
Donne-nous aujourd’hui notre pain de ce jour,
Pardonne-nous nos offenses
Comme nous pardonnons aussi à ceux qui nous ont offensés,
Et ne nous soumets pas à la tentation
Mais délivre-nous du mal.
Car c’est à Toi qu’appartiennent le règne, la puissance et la gloire pour les siècles des siècles
Amen

Le 7 mai 2015. Par Xavier Gruffat (Romanvie.ch), fondateur de Romanvie.ch – Sources: Pew Research Center, Wikipedia.org

MONTREUX – Mercredi 6 mai 2015, vers 17h30, un homme a commis un brigandage à main armée dans l’office postal de la Gare, à Montreux. L’auteur a menacé discrètement une caissière de l’office en exhibant une arme à sa ceinture. Après avoir exigé le contenu du coffre, il a pris la fuite à pied dans une direction indéterminée. Personne n’a été blessé. La Police cantonale vaudoise lance un appel à témoin.

Mercredi 6 mai 2015, vers 17h30, un brigandage à main armée a été commis dans l’office postal de la Gare à Montreux. L’auteur a menacé discrètement une caissière de l’office en exhibant une arme de poing à sa ceinture. Après avoir exigé le contenu du coffre, il a pris la fuite à pied dans une direction indéterminée. Les employés et les clients présents lors de l’agression n’ont pas été blessés. La caissière menacée, une apprentie suisse de 16 ans, domiciliée dans la région, est très choquée.

La Police cantonale vaudoise a immédiatement mis en place un important dispositif de recherches, en collaboration avec la Police Riviera. L’auteur n’a pas été interpellé pour l’instant.

L’agresseur correspond au signalement suivant :

UN INCONNU (1), 180-185 cm, corpulence moyenne, de type métis africain, 25 ans environ, vêtu d’un bonnet blanc-beige, d’un pull brun foncé à manches longue (éventuellement noir) et d’un bas de training bleu foncé. Portait une arme de poing à la ceinture.

La Police cantonale vaudoise prie les éventuels témoins de contacter les enquêteurs de la Division criminelle de la Police de sûreté au numéro 021 644 44 44 ou le poste de police le plus proche.

Cette agression a nécessité l’intervention de nombreuses patrouilles de la Police Riviera et de la Gendarmerie vaudoise, ainsi que de la brigade canine. Les investigations sont actuellement menées par les inspecteurs de la Division criminelle et le service de l’Identité judiciaire de la Police de sûreté.

Communiqué de la Police vaudoise, le 06 mai 2015, Photo illustration : © Atlantis

VALAIS – Le 06.05.2015 vers 14h15, un accident de travail s’est produit à Orsières. Un ouvrier a perdu la vie.
Un ouvrier effectuait des travaux de génie-civile, sur une route située à proximité du pont du Borratay qui enjambe la Dranse à Orsières. A un moment donné, pour une raison encore indéterminée, il a glissé dans le talus herbeux pour finir dans le cours d’eau où il a été emporté par les flots. Le corps du malheureux a pu être retiré des eaux, quelques centaines de mètres en aval, à la hauteur du bassin de l’usine électrique.
La victime est un portugais de 52 ans, domicilié en Valais.

Source : Communiqué de la Police valaisanne. Le 06 mai 2015.